Un mois, un mois entier où Maelys ne faisait que n’éviter. Elle ne m’avait même pas donné l’occasion de m’expliquer. Elle s’était immédiatement braquée sans chercher à savoir. J’avais pourtant tenté de lui parler mais elle restait totalement fermer face à moi, elle ne voulait pas me voir et cela je l’avais très bien compris. Je ne cherchais plus à lui parler vu que je l’indisposais. Notre relation était au point mort et je ne savais pas comment la relancée, tout du moins si cela était seulement possible.

En ce beau jour de printemps, le lycée organisait les portes ouvertes. Par miracle, je pus y échapper et j’étais donc libérer pour la journée. Je me disais que je pourrais passer une journée tranquille chez moi, loin du tracas causé par le lycée. Mais mon meilleur ami m’avait appelé pour me demander de venir avec lui aux portes ouvertes. Il me disait qu’il n’avait pas envie d’attendre seul au milieu d’adolescent et de leurs hormones en ébullition. Je finis par accepter pour faire plaisir à Nate, je savais très bien qu’Evelyn était derrière tout ça car sinon Nate n’aurait jamais mis un pied au lycée. On dirait bien que mon meilleur ami a trouvé chaussure à son pied même s’il refuse de me l’avouer. J’étais bien étonné qu’il se mette avec une humaine, lui qui la plus part du temps les critiques. Bref, Nate passa me prendre et nous nous rendions ensemble au lycée. Nous nous installions dans un coin de la salle, et alors que nous parlions de tout et de rien la musique « I don’t need a man » retentit sous les sifflements des garçons du lycée. Je regardais alors la scène et j’aperçus les jumelles faisant leur show pour le moins sexy et provoquant. Je n’en revenais pas de voir Maelys faire ça. Elle était vraiment divine, je ne regardais qu’elle. Je me fichais bien des prestations des autres. Elle me manquait et cela m’énerver de ne pas savoir comment l’aborder sans qu’elle ne parte dans la seconde qui suit.

A la fin de la prestation, Nate m’abandonna pour retrouver Evelyn. Vu l’état dans lequel il se trouve, la sœur jumelle de Maelys allait passer à la casserole. Bref, je me décidais à mon tour d’aller rejoindre Maelys. Peut être qu’elle voudra bien m’écouter. Alors que je marchais à allure humaine dans les couloirs, je vis Maelys entrait seule dans une salle avec ces vêtements normaux à la main. Une fois devant la porte, je toquais et sans entendre de réponse j’entrais. Maelys était en bikini et commençait à se changer. Je la regardais retirer son haut et enfiler son débardeur. Elle me dit directement, sans me prêter beaucoup d’attention, que Nate et Evelyn étaient dans une autre pièce.

« J’avais remarqué mais ce n’est pas eux que je suis venu voir… Il faut qu’on parle… »

Je savais qu’elle allait me dire un truc du genre « ce n’est pas la peine, je pense que c’était assez clair quand je t’ai vu avec elle » ajouter à cela un flot d’insulte. Mais il fallait que je m’explique, je trouvais dommage que tout soit fini pour des conneries.

« J’ai quitté Pam depuis un mois…. Le jour où tu m’as vu avec elle, elle venait de revenir. Je ne m’attendais pas à la revoir si tôt. J’allais lui dire pour nous, lui dire que c’était fini mais je ne pouvais pas lui dire ça à l’instant où je la voyais. J’ai voulu attendre le bon moment mais tu nous a surpris avant… J’étais sincère quand je t’ai dit que nous étions ensemble car pour moi c’était fini depuis bien longtemps avec Pam. J’attendais simplement de la revoir en face pour lui dire, ce ne sont pas des choses qui se font par téléphone… »

Maelys me dit qu’elle n’avait pas envie de passer à nouveau pour une pauvre fille mais elle finit quand même par m’écouter surtout que je n’avais pas le but de la faire passer pour une pauvre fille. Maelys finit par se tourner vers moi en s’appuyant sur une des tables présentes dans la salle. Elle croisait les bras et je voyais bien qu’elle était braquée même si elle m’écoutait. Maelys tourna ce que je lui disais en dérision, détruisant ainsi mes bonnes intentions. Elle me fit passer pour je ne sais quoi et cela me décevez. Elle me disait que j’aurais dû la prévenir car c’était la moindre des choses.

« Je sais, j’ai commis une erreur mais personne n’est infaillible et encore moins parfait ! Désolé, j’avais pas dans l’intention de te le cacher. J’ai suivi mon instinct qui me poussait vers toi et Pam est revenu si tôt que j’ai eu dû mal à gérer. Désolé de ne pas être parfait pour Mademoiselle Valentine ! D’abord, je vois bien que ne t’en a rien à foutre de ce que je te dis. Je peux m’excuser de toutes les manières, tu ne seras jamais satisfaite ! Je préfère abandonner là, au moins je ne regretterais pas de ne pas t’avoir parlé. »

Je sortais de la pièce, je ne voyais ce que j’allais faire de plus vu qu’elle était butée et bornée. D’abord, elle n’avait pas l’intention de me pardonner alors pourquoi je devrais me mettre à genou. Même si je le faisais, elle ne serait pas encore satisfaite et j’ai aussi ma fierté comme tout homme et je n’irais jamais jusque là surtout quand la personne ne veut rien savoir et n’est pas compréhensive. Je quittais le lycée et revenait à pieds car Nate était déjà parti et de mon coté, je voulais être seul. Je finis par rentrer chez moi où je m’installais directement sur le sofa. Par automatisme, je regardais mon téléphone mais je n’avais aucun message de Maelys. Cela me montrait bien qu’elle en avait rien à faire de tout ce que je pouvais lui dire.

Je soupirais en regardant la télévision, je tentais de penser à autre chose mais mes pensées se tournaient automatiquement vers Maelys. J’avais beau dire que j’avais abandonné l’affaire, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à elle. Une demi-heure plus tard, je sentis mon téléphone vibré. Je supposais alors que c’était Nate qui voulait surement passé. Mais à ma grande surprise se fut le prénom de Maelys qui s’affichait. Je lisais alors son message, comprenant alors que j’y avais été un peu fort avec elle tout à l’heure. Je m’en voulais de lui avoir dit que je n’étais pas assez parfait pour elle. Maelys m’apprenait qu’elle était punie et que c’est pour cette raison qu’elle ne pouvait pas me parler en face. Elle me dit qu’elle regrettait de ne pas pouvoir effacer le mois que nous venions de passer. Elle finissait son message par un je t’aime. Je me levais de mon sofa, il fallait que je la vois. Même si elle était punie, je passerais par sa fenêtre pour aller la voir. Nous devions parler c’était évident, et attendre encore ne ferait qu’enterrer notre couple. Je pris mes clés de voiture et je sortais de l’appartement. Je roulais jusque chez les Valentine , je me garais au bout de la rue afin que son oncle ne me voit pas dans les parages. Je grimpais facilement dans l’arbre et j’entendis qu’il fasse nuit pour taper légèrement dans sa fenêtre pour qu’elle m’entende. Je ne pouvais pas entrer chez elle car je n’ai jamais été invité, les vampires ne peuvent pas entrer facilement dans la demeure d’un humain sans y être inviter.

« Maelys c’est moi, est ce que je peux entrer ?... »

Maelys finit par apparaitre à la fenêtre et me fit signe d’entrer. En un clin d’œil, je me faufilais à l’intérieur en gardant toujours la vitesse d’un humain. Je n’ai pas envie qu’elle est des doutes sur moi. Je me mettais alors à lui parler à voix basse pour ne pas que nous nous fassions prendre par son oncle ou sa tante.

« J’ai reçu ton message…. Je n’aurais pas dû te dire tout ça tout à l’heure, j’ai été trop loin…. J'ai envie d'être avec toi et ça me rends dingue que tu ne veuilles plus de moi. »

Maelys ferma doucement la fenêtre et me fit signe de ne pas faire de bruit. Elle me fit signe de m’asseoir à ces cotés sur le lit où elle m’écouta parler. Entre temps, j’avais remarqué qu’elle s’était essuyé les yeux, je comprenais alors que je l’avais fait pleurer. Je m’en voulais encore plus de ce fait. Maelys me dit que c’était bien que je lui dise ce que je pensais d’elle. Elle me dit qu’elle ne faisait pas toujours les bons choix et qu’elle avait réagi avec trop de violence. Elle ajouta qu’elle n’avait pas apprécié de me voir dans les bras d’une autre, je le comprenais parfaitement.

« Je suis désolé, j’aurais du te mettre au courant…. Tu ne peux pas savoir à quel point je m’en suis voulu…. »

Maelys avait gardée la tête baissée depuis tout à l’heure. Je posais alors ma main sous son menton et je lui relevais la tête pour qu’elle me regarde. Je penchais alors mon visage vers le sien et je me mettais à l’embrasser tendrement, tant pis si elle me rejetait. Je la regardais ensuite en gardant mon visage proche, appuyant mon front contre le sien.

« J’en peux plus d’être loin de toi, ma puce…. Tu me manques… »

Maelys prolongea mon baiser avant de me dire que je lui avais manqué aussi et qu’elle m’aimait.

« Je t’aime aussi, comme je n’ai jamais aimé personne avant… »

Je la laissais se glisser sur mes genoux pour s’installer à califourchon sur moi. Je la serrais doucement contre moi alors qu’elle se blottissait. Je respirais son odeur dans ces cheveux alors qu’elle enfouissait son visage au creux de mon cou. Elle m’avait tellement manqué, j’étais vraiment amoureux d’elle et je dois dire que mes sentiments n’avaient jamais été aussi fort pour une personne. C’était nouveau pour moi et cela me faisait bizarre à la fois. Maelys me demandait si je voulais rester cette nuit.

« Je veux bien mais tu ne vas pas avoir de problème ?... Si ton oncle veut entrer, je partirais rapidement ne t’en fait pas il ne me verra pas »

Je lui adressais un sourire pour la rassurer. Puis je m’allongeais dans le lit en l’entrainant avec moi. Je passais mes mains sur elle avec douceur profitant de ce contact. Je la retrouvais doucement et c’était bon. J’allais la traiter comme une vraie princesse ce soir, je voulais me faire pardonner et lui montrer que je ne voulais qu’elle. Elle était tout pour moi maintenant. Je me mettais alors à embrasser Maelys avec tendresse en passant doucement mes mains sous son haut, je lui caressais doucement son ventre en remontant petit à petit. Je ne voulais qu’elle me prenne pour un gros obsédé. Je me contentais pour le moment de passer mes mains sur elle afin de redécouvrir petit à petit son corps.

Maelys me dit qu’elle se fichait d’avoir des problèmes car elle voulait être avec moi. Je regardais Maelys qui s’installait un peu mieux sur moi. Je la sentais frissonner sous le passage de mes mains et je dois dire que j’adorais ça. Je trouvais ce genre de réaction mignonne. Maelys se pencha vers moi et déposa des baisers sur mon cou en ouvrant ma chemise. Je me mettais à frissonner alors qu’elle me caressait doucement le torse avant de s’amuser à faire les contours de mes abdominaux où elle déposa de légers baisers. Finalement, Maelys se redressa et elle se mit à se frotter à moi. Moi qui ne voulais pas la brusquer pour ne pas passer pour un obsédé, je me disais que finalement elle était bien prête et que je pouvais me lâcher. Maelys me dit qu’elle ne savait pas combien de temps elle serait punie et qu’on n’aurait pas beaucoup de temps ensemble.

« Nous on a la chance de se voir en cours, on pourra toujours se trouver du temps entre deux cours ou pendant le midi… Je te propose qu’on en profite un maximum maintenant surtout qu’on a dû temps devant nous ! »

Contrairement à Evelyn et Nate, nous pouvions nous voir pendant les cours donc la séparation sera moins difficile. Je me redressais et lui volais un baiser en passant mes bras autour d’elle, puis je la fis basculer dans le lit. Je me mettais au dessus d’elle et je déposais de légers baisers sur son cou en passant mes mains sous son haut que je faisais remonter. Je finis par lui retirer et je descendis mes baisers sur sa poitrine que je me mis à taquiner avec ma langue et mes dents. Il fallait que nous soyons discrets pour ne pas éveiller les soupçons de son oncle ou de sa tante. C’est dans ce moment là que je me disais que j’avais de la chance d’avoir Maelys plutôt qu’Evelyn car d’après Nate sa petite amie n’était pas des plus discrètes.

Maelys retenait ces gémissements mais de mon coté, je les entendais très clairement. Je continuais alors jusqu’à ce qu’elle me retire ma chemise. Maelys passa ces mains dans mes cheveux et dans mon dos tout en continuant de soupirer de plaisir. Maelys le fit me redresser et je prolongeais ainsi son baiser, la laissant passer ces jambes autour de ma taille. Elle se frotta à moi ce qui eut pour résultat que j’avais un début d’érection. Maelys ne manqua pas de me faire remarquer qu’elle le sentait. J’unissais mon rire au sien avant de la regarder.

« Le grand garçon se réveille mais attends de voir que le grand garçon devienne une bête ! »

Je rigolais avant de l’embrasser fougueusement. Je passais alors une main dans son short où je me mis à caresser son intimité en insistant de plus en plus. Je finis par lui retirer son short devenu trop gênant. Je la pénétrais alors avec deux doigts et je commençais les mouvements de vas et viens tout en l’embrassant pour étouffer ces soupirs. Je faisais en sorte de plus procurer du plaisir préliminaire avant de passer au plat de résistance. Je m’occupais d’elle du mieux possible afin qu’elle ne regrette pas cette nuit.

Maelys se mit à rire de ma remarque avant de prolonger mon baiser en se frottant à moi. Elle me dit qu’il y avait encore du travail mais qu’elle allait arranger ça. Je me mettais alors à rire en toute discrétion en me demandant bien ce qu’elle allait faire. Maelys ouvrit mon jeans et passa sa main dans mon boxer où elle me caressait l’intimité. Je prolongeais ces baisers afin de couvrir nos soupirs mutuels. Maelys descendis ensuite des baiser sur mon torse pour arrive jusqu’ ‘à mon intimité. Je la laissais retirer mon jeans et mon boxer. Je la regardais alors qu’elle m’était mon intimité dans sa bouche. Je soupirais alors de plaisir en restant tout de même discret, c’était la première fois qu’elle me faisait cela et je dois dire que j’appréciais particulièrement. J’atteignais le point de non retour grâce à elle puis je la laissais remonter vers moi. Je lui adressais un sourire en passant mes bras autour d’elle.

« Je savais pas que ma petite amie était une petite cochonne ! Tu caches bien ton jeu toi dis donc ! »

Je rigolais légèrement avant de venir l’embrasser, je disais ça pour rire bien entendu j’avais juste envie de la taquiner. Je la fis basculer et je vins me mettre au dessus d’elle, je déposais alors de petits baisers sur son cou. Je lui fis passer ces jambes autour de ma taille.

« Maintenant que tu as réveillé la bête, tu vas voir ce qu’elle va te faire »

Je rigolais légèrement puis j’entrais doucement en elle. Je commençais les mouvements de vas et viens sur un rythme normal puis j’accélérais au fur et à mesure afin de lui procurer le maximum de plaisir. Afin d’être le plus discret possible, je l’embrassais dans le but d’étouffer nos soupirs. Je lui fis atteindre le point de non retour que j’atteignis après elle. Je séparais nos corps mais je restais quelques instants au dessus d’elle avant de m’allonger à ces cotés.

Une fois que je fus allongé à coté d’elle, Maelys me vint se blottir dans mes bras. Je la laissais déposer de légers baisers le long de ma mâchoire avant de me dire qu’elle m’aimait.

« Je t’aime aussi ma puce… »

Je sentais alors que Maelys tombait doucement dans les bras de Morphée. Je ne bougeais pas pour ne pas la déranger. Elle restait installé contre moi, alors il ne fallait pas que je bouge pour ne pas la réveiller. Je finis par m’endormir mais je fus réveiller de bonne heure. Il ne me fallait pas beaucoup d’heure de sommeil. Mais Maelys fut réveillé en sursaut à cause de son téléphone qui s’était mis à vibrer sur la table de nuit. Maelys se colla un peu plus à moi avant de me faire comprendre qu’elle ne voulait pas que je parte.

« Il va falloir que j’y aille bébé, si ton oncle se réveille et qu’il me voit passer par la fenêtre tu seras encore plus puni… Et puis on se verra tout à l’heure en cours. »

Je la serrais doucement contre moi avant de déposer de légers baisers sur son épaule. Je remontais vers ces lèvres avant de l’embrasser amoureusement. Je quittais alors le lit avant qu’elle ne me retienne. Je prenais mes affaires et je commençais à me rhabiller. Une fois vêtu, je la regardais en souriant. Je revenais prêt du lit et je l’embrassais tendrement.

« Dors encore un peu, on se revoit au lycée et puis qui sait pendant le midi on va peut être réveillé la bête… »

Maelys me dit qu’elle espérait bien passer du temps avec moi ce midi. Je la serrais contre moi avant de prolonger son baiser. Maelys finit par me lâcher, elle avait compris le risque que l’on courrait. Je partais par la fenêtre sans faire de bruit. Je prenais ma voiture et je retournais chez moi. Je pris une poche de sang afin de me nourrir pour la journée. Je partais ensuite sous la douche pour me préparer à aller au lycée. Une fois prêt, je prenais ma voiture direction le lycée. Je me garais sur le parking et en arrivant j’aperçus Maelys qui m’attendait. Je sortis de ma voiture et je la rejoignais. Je lui adressais un sourire alors qu’elle passait ces bras autour de mon cou. Je prolongeais son baiser en la serrant contre moi.

« Je t’aime aussi … Tu vois on s’est vite retrouver ! »

Je la serrais contre moi, avant de passer un bras autour de ces épaules. Je marchais avec elle en direction de la salle de cours. Je passais la matinée à ces cotés, les cours passèrent bien vite. Pendant le midi, je sortais avec Maelys pour aller dans un coin tranquille du lycée.

« Enfin seul ! »

J’adressais un sourire à Maelys avant de l’embrasser amoureusement. Je passais doucement mes mains sur elle, profitant au maximum de sa présence.

« On a de la chance d’être ensemble au lycée car je sais pas comment je ferais sans te voir… »

Alors que je la touchais doucement, je sentais Maelys frissonner sous mes mains. Elle m’adressa un sourire auquel je répondis puis je l’écoutais tandis qu’elle me disait qu’elle aurait du mal à tenir si on ne pouvait pas se voir le midi et si je ne la rejoignais pas au soir.

« Le principal c’est d’arriver à se voir en cachette, tant que ton oncle ne sait rien tout va bien »

Je regardais Maelys qui finit par me prendre la main. Je la suivais sagement alors qu’elle m’amenait dans une salle de classe déserte. Le lycée autorisait l’utilisation des salles durant le midi, afin de permettre aux élèves de manger ou de réviser. Maelys referma la porte derrière nous, mais j’entendis le verrou de la porte claquée. Je me demandais bien comment elle avait réussi à fermer la porte sans avoir la clé. Je ne disais rien de ma réflexion, préférant réfléchir à cela à un autre moment. Maelys s’approcha de moi en passant ces bras autour de son cou, se collant à moi. Elle me disait qu’elle ne savait pas comment Nate et Evelyn feront car eux ils ne pouvaient pas se voir au lycée. Nous avions cette chance Maelys et moi.

« Je pense qu’ils vont trouvés des moyens pour se voir, je pense que ta sœur va tout tenter pour le voir et puis peut être que Nate la rejoint le soir tout comme je le fais avec toi. C’est sur que c’est plus dur pour eux mais ils vont se débrouiller pour se voir. »

Je serrais doucement Maelys contre moi tout en prolongea tendrement son baiser. Mais Maelys s’éloigna de moi en rigolant avant de commencer à déboutonner son chemisier. Elle affichait un petit air coquin sur son visage tout en se mordant la lèvre en me regardant.

« Regardez moi ça, la petite cochonne qui en veut encore et encore ! Tu vas finir par déteindre sur ta sœur toi ! »

Je rigolais et je m’approchais d’elle. Je la soulevais doucement au niveau des hanches et je la posais sur le bureau. Je passais doucement mes mains sur elle et je lui retirais délicatement son chemisier tout en l’embrassant langoureusement. Je retirais ensuite moi-même moi t-shirt pour aller plus vite puis je reviens m’occuper de ma princesse. Je fis descendre doucement les bretelles de son soutien gorge avant de passer ma main à l’intérieur de celui-ci pour lui taquiner la poitrine du bout des doigts. Je passais mon autre main dans son dos et je dégrafais son soutien gorge. Une fois sa poitrine découverte, je vins taquiner sa poitrine avec ma langue et mes dents tout en douceur.

Maelys avait passé sa main dans mon boxer pendant que je lui taquinais la poitrine, je soupirais discrètement sous l’effet de ces caresses continuant tout de même ce que je faisais. Maelys finit par s’allonger sur le bureau en m’attirant avec elle. J’unissais mon rire au sien tout en la regardant. Je frissonnais sous le passage de ces mains sur moi, je la laissais passer ces jambes autour de ma taille. Après quoi, Maelys s’approcha de moi afin de se frotter en bougeant le bassin.

« Moi aussi j’ai envie de toi, on va vite arranger ça… »

Maelys se redressa et je prolongeais amoureusement son baiser. Elle paraissait relativement exciter pour se frotter comme cela à moi. Mais alors qu’elle me faisait son petit manège, les rideaux de la salle se fermèrent d’eux même. Je compris que cela ne pouvait venir que d’elle, je me mettais alors à réfléchir à tout ce qui avait bien pu se passer d’étrange en sa présence. Rapidement, j’arrivais à une conclusion, ma petite amie était une sorcière. J’en avais connue dans mon existence mais je n’en avais jamais fréquenté intimement. Mais pour le moment, je préférais taire la chose afin de profiter du temps avec elle. J’aurais tout le temps de revenir là-dessus plus tard.
Je me mettais à passer mes mains sur les cuisses de Maelys en remontant doucement. J’en profitais alors pour relever la jupe qu’elle portait. Je passais alors ma main sur son sous vêtement et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire je lui arrachais. Après tout, elle avait envie alors je me dépêchais pour la satisfaire alors tant pis si sa petite culotte en subissait les conséquences. Je descendais mon jeans et mon boxer rapidement puis je pris mon intimité dans une main et je la frottais doucement contre celle de Maelys afin de la faire languir. Je décidais tout de même qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. J’entrais alors doucement en Maelys tout en passant mes mains sur elle. Je commençais les mouvements de vas et viens sur un rythme normal, j’accélérais petit à petit afin de lui procurer le maximum de plaisir. Et puis, nous n’avions pas toute la matinée non plus alors il fallait faire ça vite et à la sauvette. Je la menais au plaisir ultime que j’atteignais à mon tour. Je séparais nos deux corps en la gardant tout de même contre moi.

« Alors rassasier ? »

Je rigolais légèrement avant de déposer de petits baisers sur sa peau dénudée.