Maelys se mit à rire quand elle entendit ma question, je la sentais par ailleurs frissonner sous mes baisers. Mais elle finit par m’embrasser et je prolongeais alors tendrement son baiser.

« Je te la reposerais ! »

Je rigolais avant de la laisser se rhabiller, on n’allait pas rester à poils dans la salle de cours. Je me rhabillais également, replaçant bien mes affaires sur moi pour ne pas paraitre suspect. Je rigolais en voyant Maelys ramassait ce qu’il restait de son sous vêtement. Elle me demanda comment elle faisait maintenant, avant d’ajouter qu’il ne faudrait pas me plaindre si d’autres voient ces fesses. Je me claquais une barre rien qu’à l’imaginant cul nu sous sa jupe.

« Je ne me plaindrais pas, peut être même que j’en profiterais en cours… »

Je disais cela pour l’embêter, je n’allais pas la tripoter sexuellement en plein cours même si je savais que je pouvais aisément le faire quand nous étions dans le fond de la salle. Je serrais Maelys contre moi alors qu’elle se collait tout en passant ces bras autour de mon cou.

« Je t’aime aussi… On va devoir mais ce soir, on se retrouvera comme il se doit ! Tu seras peut être punie moins longtemps que ta sœur car d’après Nate en plus des tenues, ta sœur et lui se sont faits chopés entrain de se tripoter ! »

Je la regardais alors qu’elle me caressait la joue, je prolongeais ensuite son baiser. Je m’avançais vers la porte en voyant qu’elle était verrouillée, je me tournais alors vers Maelys.

« Tu m’ouvres la porte de la même manière que tu la fermais ? Tout comme les rideaux d’ailleurs !»

« Peut être que oui alors fais gaffe à toi en cours ! »

Je rigolais avant de prolonger le baiser de Maelys. Elle me demanda ensuite si le spectacle qu’elle avait fait avec sa sœur m’avait plu.

« Tu m’étonne que ça ma plu ! J’aimerais bien avoir ça en privé moi ! Comme ça en plus de regarder, je pourrais toucher ! »

Je rigolais avant de partir à la porte. Je fis alors ma petite remarque à Maelys à propos de ce que j’avais pu remarquer alors que nous nous apprêtions à faire l’amour. Maelys tenta tout à bord de faire genre de rien mais elle remarqua bien rapidement que je n’étais pas prêt à la croire. J’entendis alors le cliquetis venant de la porte qui signifiait qu’elle était ouverte. Maelys finit par m’avouer que c’était elle mais qu’il fallait que je garde ça pour moi sinon Evy la tuerait. J’en déduisais alors que sa sœur jumelle était également une sorcière, je ne pouvais pas informer Nate pour ne pas que Maelys ait des problèmes.

« Je ne dirais pas que tu es une sorcière, même pas à Nate ! Je savais bien que tu avais un truc de spécial »

Je lui adressais un sourire avant de venir l’embrasser tendrement. Je passais mes bras autour d'elle tout en la regardant.

« Tu sais te défendre face à des créatures surnaturelles ou tu es encore dans les basiques de la sorcière? »

Je tentais de me renseigner un peu il n'y avait pas de mal à cela après tout.

Maelys prolongea mon baiser avant de me dire qu’elle maitrisait assez bien ces pouvoirs. Elle me demandait ensuite ce que j’entendais par créatures surnaturelles.

« Et bien je sais pas trop, pourquoi pas des vampires, des loups garous ou encore des métamorphes »

Maelys me proposa de me faire une démonstration de ces pouvoirs. J’espérais simplement qu’elle ne ferait pas un sort et que cela me toucherait, elle peut très bien faire un sort sans savoir quel effet il a sur les vampires.

« Oui je veux bien, montre moi donc tes pouvoirs miss Valentine »

Je lui adressais un sourire tandis qu’elle passait ces bras autour de mon cou. Je prolongeais langoureusement son baiser puis elle s’écarta de moi. Je l’observais, elle fermait les yeux pour se concentrer puis elle fixa le bureau pour le faire s’élever. Maelys se tourna ensuite vers moi et elle fit apparaitre une flamme dans ces mains avant que celle-ci ne disparaisse. Maelys me disait qu’elle savait faire pleins de chose et même repousser une personne qui lui veut du mal.

« C’est une bonne chose ça, tu pourras repousser la personne qui te veut du mal si je ne suis pas là pour te protéger ! En tout cas, je sais que si je fais une bêtises tu vas me cramer les fesses »

Je rigolais légèrement en l’attirant vers moi. Il allait être bientôt l’heure de retourner en cours, mais j’avais encore envie d’être seul avec elle. Je n’avais pas envie de la lâcher et de n’attendre qu’au soir pour la retrouver.

Ma remarque fit rire Maelys, elle me disait qu’elle me cramerait les fesses en tout cas. Je prolongeais son baiser avant de quitter la salle. Je marchais dans le couloir, main dans la main avec elle. Une fois dans la salle Maelys se dirigea directement dans le fond de la salle ce qui me fit rire discrètement. Elle s’installa coté mur et je me retrouvais du coté de la ranger. Je ne copiais pas le cours d’histoire car je connaissais tout par cœur et que cela me souler. Mais Maelys copiait avant de se mettre à écrire sur la feuille vierge que j’avais tout de même sorti pour ne pas que le prof voit que je ne faisais rien. Maelys posa ensuite sa main sur ma cuisse, je la regardais en souriant.

« Tu joue à un jeu dangereux là… »

J’allais la prendre à son propre jeu, on verrait si elle rigolera encore. Je passais doucement l’une de mes mains sous la table et je glissais une main sous la jupe de Maelys. Je commençais à lui caresser discrètement l’intimité, et quand je la sentis de plus en plus chaude je la pénétrais doucement en faisant des mouvements de vas et viens discret.

« Je t’avais prévenu… »

Je continuais tout de même, prenant un malin plaisir à faire cela. En plus d’ici, personne ne pouvait nous voir. C’était bien l’avantage de la situation.

J’esquissais un sourire amusé alors que Maelys me disait qu’on allait se faire prendre. Mais ce n’est pas ça qui m’arrêta au contraire. Je continuais en la regardant, voyant bien que je lui donnais du plaisir qu’elle essayait de contenir afin que l’on ne se fasse pas griller. Maelys se mit alors à me caresser au travers de mon jeans et comme je n’étais pas fait de bois, je sentais que j’allais avoir une érection. Maelys me dit alors qu’elle ne tenait plus avec un air suppliant puis elle me proposa de sortir. Il ne fallut pas me le dire deux fois. Autant sortir rapidement avant que mon érection ne soit visible. Je me levais alors en signalant au professeur que Maelys ne se sentait pas bien. Je prenais alors ma petite amie en la maintenant pour sortir de la salle. Une fois la porte de la salle de cours refermé derrière nous, je lâchais Maelys en rigolant.

« Allez viens fausse malade, je vais m’occuper de toi ! »

Je lui prenais la main et je l’amenais vers les toilettes, à cette heure ci personne ne viendrait trainer là. Je fermais la porte principale derrière nous avant de venir auprès de Maelys. Je la prenais dans mes bras et je l’embrassais langoureusement en jouant avec sa langue.

« J’ai envie de toi, miss sans culotte…. »

Je la soulevais et je la posais au niveau des lavabos. Je passais alors mes mains sous sa jupe que je remontais en douceur. Je me mettais à lui caresser l’intimité avec insistance puis je me décidais de remplacer mes mains par ma langue. J’avais envie de la satisfaire et de lui procurer un plaisir intense.

Maelys prenait du plaisir et je pouvais l’entendre à ces gémissements. Elle désira ensuite que je me releve et c’est ce que je fis. Je prolongeais langoureusement le baiser de Maelys, la laissant passer ces jambes autour de ma taille. Elle se colla à moi, me montrant qu’elle avait envie moi. Maelys ouvra ma ceinture et mon jeans en passant ces mains dans mon boxer. Je soupirais doucement alors que Maelys me supplia en me disant qu’elle avait envie. Je baissais alors mon jeans et mon boxer en même temps, je pénétrais Maelys en douceur. Je me mettais à faire des mouvements de vas et viens sur un rythme normal. J’accélérais petit à petit afin de lui procurer le maximum de plaisir. Je lui fis atteindre le plaisir ultime un peu avant moi, puis je séparais nos deux corps. Je restais tout de même contre elle, déposant des baisers au creux de son cou.

« Je t’aime ma puce… »

J’inspirais doucement son odeur, ce qui me détendait. En ce moment, nous faisions assez souvent l’amour et n’importe quand, surement dû au fait que Maelys était puni. Nous essayons à chaque fois de profiter un maximum l’un de l’autre. Je regardais Maelys en souriant tout en passant mes mains sous son haut.

« Il va falloir y retourner, on va pas passer la journée emboitée ! »

Je rigolais avant de venir l’embrasser tendrement. Il ne fallait pas non plus attiré les soupçons sur nous et ce que nous faisions au lycée entre deux.

Je sentais Maelys frissonner sous le passage de mes mains. Elle me dit qu’elle n’avait pas envie de retourner en cours notamment parce qu’elle n’avait pas envie de me lâcher.

« Moi non plus je n’ai pas envie de te lâcher, mais il faut bien on a cours »

Je prolongeais tendrement son baiser avant de la laisse enfouir son visage au creux de mon cou. Je la laissais se détendre contre moi, je voyais bien qu’elle se sentait bien comme ça je n’avais donc pas envie de la déranger. Mais c’est alors que ma petite amie me proposa d’aller chez moi. Maelys m’expliquait qu’elle n’avait pas envie d’aller en cours et qu’elle préférait passer du temps avec moi.

« Oui pourquoi pas, mais si ton oncle est mis au courant il ne va pas s’énerver ? »

Je préférais demander mais je voulais quand même rentrer chez moi, surtout que les cours ne me passionnent pas spécialement. Je reculais en faisant descendre Maelys du lavabo. Je me rhabillais correctement en regardant Maelys faire de même. Je lui pris ensuite la main et nous nous faisions discrets dans les couloirs. On quittait le lycée par une petite issue avant de nous diriger vers la voiture. Je pris le volant jusqu’à mon appartement, je laissais Maelys entrer la première avant de refermer la porte derrière nous. Je retirais ma veste que je rangeais immédiatement.