Et encore une journée à me rendre en cours, je n’avais vraiment pas le courage en ce moment. Cela faisait un petit moment que je n’avais pas vu ma petite amie et elle commençait sérieusement à me manquer. Je passais le plus claire de mon temps avec mon meilleur ami Nate qui lui était célibataire. Mon meilleur ami était un vrai don juan qui sautait sur tout ce qui bougeait. Il n’avait pas l’air de vouloir trop s’engager avec quelqu’un, je lui souhaitais pourtant de vivre une belle histoire.
J’arrivais ce matin au lycée en voiture, je me garais sur le parking des élèves. Je traversais ensuite le couloir sous les regards des filles qui me mangeaient des yeux, cela m’amusait. Alors que je rentrais dans la classe, je sentis le regard d’une jeune femme se posait sur moi. Je la regardais, je ne l’avais jamais vu auparavant. Elle était vraiment très jolie, je lui adressais un sourire en réponse au sien avant de m’installer pour suivre le cours. Une fois fini, je me levais pour sortir de la salle quand soudain la jeune inconnue me percuta. Elle se mit alors à rougir en me disant qu’elle était désolée. Je la regardais et lui adressais un sourire pour la rassurer.

« Ce n’est pas grave… Moi non plus je ne regardais pas où j’allais. Tu ne t’es pas fait mal au moins ? »

Je n’avais pas envie de la blesser ou lui faire mal, je la regardais alors avec attention. Je la trouvais très charmante, elle avait un petit coté très mignon. Je sentais qu’elle était spéciale mais je ne savais dire en quoi.

« Au fait moi c’est Maxim ! J’ai cru comprendre que tu étais nouvelle, je te souhaite alors la bienvenue à Ashland »

« Non tu ne m’as pas fait mal »

Elle ne pourrait pas me blesser même si elle le voulait, elle n’était qu’une humaine et moi un vampire. Elle me disait qu’elle s’appelait Maelys, je le savais puisqu’elle s’était présentée en cours mais je lui avais demandé par simple politesse. Elle me dit ensuite qu’elle avait cours d’histoire et elle me demanda de l’aide pour trouver sa salle.

« Allons y ensemble, j’ai cours d’histoire moi aussi »

Je comprenais qu’elle puisse être perdue, elle était nouvelle après tout. D’habitude, je n’aurais pas accepté mais là quelque chose me poussait à l’aider. La plus part du temps, je ne me mêle pas aux autres lycéens. Je me contente du strict minimum.

« Ca ne me dérange pas de t’aider, ne t’en fais pas »

Je lui adressais un sourire pour appuyer mes dires et je commençais à avancer dans le couloir avec Maelys à mes cotés. Les gens nous regardaient, en même temps ils devaient se demander ce que je faisais vu que d’habitude je ne parle à personne. J’entendais ce qu’il se chuchotait, il parlait de moi et il se demandait ce que je trouvais à la nouvelle. A vrai dire, moi non plus je ne le savais pas. Je lui parlais peut être parce que comme moi elle était arrivé comme une fleur dans ce lycée.

« Je sais que c’est gênant le regard des autres, je suis désolé si tout le monde te fixe… C’est de ma faute, je parle à peu de gens alors ils se demandent tous pourquoi je te parle à toi »

Maelys me demandait pourquoi je lui parlais à elle si je ne parlais pas aux autres. Elle me regardait avec un petit air intriguée avant de me dire que je n’étais pas obliger de lui répondre.

« Ce n’est pas indiscret, ne t’en fais pas. Les gens ici sont tous pareils, rien de bien intéressant. Toi tu es nouvelle et tu n’es pas d’ici alors tu es beaucoup plus intéressante que tous les autres qui ont la même mentalité. »

J’étais franc, je ne voyais pas pourquoi je ne devrais pas l’être. Maelys m’adressait un sourire timide auquel je répondais. Nous étions maintenant devant la porte de la salle d’histoire mais nous avons encore le temps avant d’aller en classe. Maelys me demandait si les gens sont tous comme ça, elle ajouta que si c’était le cas elle serait souvent mal à l’aise. Tout comme moi, Maelys n’aimait être observée comme une bête sauvage. Voilà pourquoi j’essayais de me comporter le plus normalement possible.

« Ca va leur passer d’ici quelques jours, tu feras partie du décor pour eux et ils ne te regarderont plus »

Moi, il ne me regardait sauf dans des cas comme aujourd’hui où je faisais quelque chose d’inhabituel. Je la regardais avant de lui adresser un sourire, je regardais l’heure et je vis qu’il était temps aller en cours.

« On ferait mieux d’entrer… On se met ensemble ? »

Cela me changerait d’être dans le fond de la salle avec quelqu’un. Je m’ennuyais en cours, j’aurais de la compagnie et j’apprendrais à la connaitre un peu plus. Maelys était différente des autres filles d’ici, en même temps elle venait de New York. Elle n’avait pas la même mentalitée.

Une fois dans la salle, Maelys choisit une table qui n’était pas trop dans le fond et je vins me mettre à ces cotés. Nous avions parlé durant le cours et celui-ci était passé bien plus rapidement que d’habitude. J’avais appris qu’elle avait une jumelle et un petit frère mais aussi que ces parents étaient morts il y a peu de temps. De mon coté, je lui racontais que je vivais totalement seul, et que mon oncle m’envoyait de quoi vivre et continuer mes études, car mes parents étaient morts. Je lui disais que je passais le plus clair de mon temps avec Nate qui était mon meilleur ami. Je me disais sur le coup que je pourrais présenter Nate à la sœur de Maelys puis je me disais que c’était une mauvaise idée. Nate lui ferait plus de mal qu’autre chose, la fille s’accrochera à lui alors qu’il ne chercher qu’à s’amuser. Bref, une fois que le cours fut fini, je sortais dans le couloir en compagnie de Maelys. Elle me demandait si j’avais cours ou si j’étais en pause déjeuner.

« Je suis en pause déjeuner maintenant et je vais devoir te laisser car je rentre chez moi pendant ce temps. »

Je ne restais pas au lycée car je ne me nourrissais pas normalement et que je ne voulais pas éveiller les soupçons. Je n’avais pas envie de la laisser seule comme ça mais il fallait que je parte.

« On se rejoint tout à l’heure après la pause déjeuner ? »

Je la regardais en esquissant un doux sourire, je me disais qu’elle irait surement rejoindre sa sœur et son frère et ainsi elle ne serait pas seule.

Maelys me dit qu’elle était d’accord pour que l’on se retrouve avant d’aller en cours. Je lui fis signe de la main en partant et je me dirigeais vers le parking. Je montais dans ma voiture et je roulais jusqu’à mon appartement. J’allais directement dans mon frigo afin de prendre une poche de sang. Maintenant que je côtoyais de plus près une humaine, je préférais prendre des précautions. Je n’avais pas envie de lui faire du mal sous l’effet d’une impulsion. Une fois nourri, je retournais en voiture au lycée. Je me garais de nouveau sur le parking des élèves et en sortant de ma voiture au loin, j’aperçus Maelys qui se trouvait toute seule. Je m’en voulais soudainement de l’avoir laisser seule, je croyais qu’elle allait rejoindre sa famille mais elle n’avait pas l’air de l’avoir fait. Je me dirigeais vers elle et je vins m’asseoir à ces cotés. J’avais bien fait de revenir plutôt, les cours n’étaient pas prêt de commencer.

« Je n’ai pas été trop long j’espère… Tu as mangé seule ? »

Je voulais comprendre pourquoi elle n’avait pas mangé avec sa sœur et son frère. Ce n’était pas bien de s’isoler et je savais ce que je disais.

« Demain je resterais au lycée avec toi, c’est pas bon de rester toute seule comme ça … Enfin si tu es d’accord, je ne veux pas t’imposer ma présence »

Maelys me disait que sa sœur avait cours et que son frère s’était fait des amis alors elle n’avait pas voulu le déranger. Maelys me dit que je ne devais pas me sentir obliger de rester avec elle car cela ne la déranger pas d’être seule.

« Je n’ai rien d’autre à faire, je suis toujours seul d’habitude »

Maelys était tout de même d’accord pour que je reste avec elle. Elle me raconta qu’elle était une grande fille et que depuis la mort de ces parents, elle avait souvent été seule et que cela lui permettait de réfléchir et de se détendre.

« Je connais ça mais trop réfléchir ce n’est pas bon, enfin pour moi ça ne l’ai pas mais je ne peux pas m’en empêcher … »

Je répondais à son sourire tout en la regardant s’installer contre l’arbre. Maelys me demandait alors de lui raconter ma vie, elle voulait savoir comment j’avais atterri à Ashland.

« J’ai vécu ici quand j’étais plus jeune et mes parents ont voulu déménager. A leurs morts, je suis revenu dans ma ville natale avec mon meilleur ami. J’avais besoin de tranquillité et de discrétion »

Je n’aimais pas baser une relation amicale ou amoureuse sur un mensonge mais j’y étais obliger. Je ne pouvais pas lui claquer que j’étais un vampire et que je vivais dans ma ville natale car je la savais calme et discrète et qu’ainsi je pouvais me permettre de vivre normalement comme un humain.

« Ma vie n’est pas bien intéressante, elle est très vague… »

Maelys me confia qu’elle était malheureuse ici. Je l’étais aussi à ma manière, ma petite amie n’aimait tellement pas la vie ici qu’elle venait me rendre rarement visite. Je restais pourtant attaché à elle d’une certaine manière car cela fait des années que nous sommes ensemble. Maelys me demandait si elle pouvait s’appuyer sur moi, j’acceptais après tout si cela lui faisait plaisir. Ca serait une façon de me faire pardonner de l’avoir laisser seule durant le midi. Elle posait alors sa tête contre mon épaule en soupirant d’aise, c’est alors que je remarquais les regards insistants de certaines filles du lycée. Apparemment Maelys les avait remarqué elle aussi. Elle me dit que j’avais des admiratrices et que si elles pouvaient elles la tueraient sur place. Je rigolais doucement, décidemment les filles de ce lycée sont pathétiques. Elles regardent Maelys de travers comme ci je leur appartenais.

« Je me passerais de ce genre d’admiratrice… »

Je soupirais en regardant le groupe de fille puis je reportais mon attention sur Maelys. Je passais doucement mon bras autour d’elle pour la maintenir contre moi et qu’elle se sente bien. Je comprenais que cela devait être dur pour elle de se retrouver dans une nouvelle ville et de devoir tout recommencer. Si je pouvais l’aider à ma petite échelle, je le ferais.

« Et si….On s’amusait à les rendre encore plus jalouse de toi ? »

J’avais envie de m’amuser et je pense que Maelys ne serait pas contre un peu de divertissement. Elle n’aurait pas à craindre les représailles car je serais là pour calmer ces filles. J’ai un pouvoir après tout, je peux m’en servir sur ces filles.

Maelys me dit qu’elle était d’accord pour rendre ces filles encore plus jalouses mais elle voulait savoir comment. J’avais bien ma petite idée là-dessus et en plus elle était clean comme idée, rien de trop gênant à faire en public.

« Laisse toi aller, tout se passera bien ! »

J’attirais doucement Maelys sur mes genoux en souriant, elle se laissait faire en même temps elle devait surement se demander comment j’allais procéder. Je plantais mon regard dans le sien tandis qu’elle posait une main sur ma joue. J’approchais alors doucement mes lèvres des siennes et Maelys parcourues les derniers centimètres. Elle prolongeait mon baiser et je la serrais contre moi. Je sentais des frissons parcourir Maelys ce qui était compréhensible, même moi je ne restais pas insensible. Même si cela ne se ressentait pas ni ne se voyait, avoir une superbe fille dans ces bras ça ne laisse personne indifférent. Je nous fis doucement basculer dans l’herbe et je me retrouvais au dessus d’elle. Je continuais de l’embrasser encore et encore avant de sourire contre ces lèvres. Je jetais discrètement un regard vers le groupe de fille et je les vis partir comme des furies. Je me mettais alors à rire avant de regarder Maelys.

« Je crois qu’on a parfaitement réussi notre mission camarade ! »

Je me claquais une barre tout en me redressant. J’attendis que Maelys fasse de même et je la prenais à nouveau contre moi.

« J’espère que je n’ai pas été trop loin dans ce que j’ai fait, si j’ai fait quelque chose de déplacer je te demande de m’excuser »

J’étais un garçon poli et droit, je préférais m’assurer que je n’avais rien fait de mal.

Maelys me disait que je n’avais rien fait de mal et que si elle avait vu que j’allais trop loin elle m’aurait arrêté. Je savais bien en la voyant que ce n’était pas le genre de fille à sauter facilement dans les bras d’un homme. Dans le cas présent c’était pour s’amuser rien de plus et puis j’ai une petite amie même si elle n’est pas au courant. Je me mis à rire quand Maelys me demandait si ça m’arrivait souvent d’embrasser les nouvelles.

« Non je ne fais pas ça avec toutes les nouvelles, tu es bien la première avec qui je me prête à ce jeu. Mais je dois avouer que c’était bien drôle de voir la tête de ces filles. »

Je rigolais de nouveau en revoyant la tête que ces filles avaient tirée. Je regardais alors Maelys en souriant tout en la gardant contre moi.

« En faite, je paris que t’as vachement aimé que je t’embrasse. Je dirais même que tu as bien envie de recommencer !»

Je disais ça pour la taquiner rien de plus, je ne voulais pas la mettre mal à l’aise. Je finis par m’allonger sur l’herbe en entrainant Maelys avec moi. Autant se détendre un maximum avant de retourner en cours, on se sentira bien pour l’après midi.

« Tu veux faire quelque chose avant les cours, à part me dévorer de baiser bien sur »

Je me claquais une barre en attendant sa réponse.

« Peut être que ça vient de moi alors ! »

Je me mettais à rire, Maelys ne m’avait rien répondu et je n’attendais pas spécialement de réponse à ma boutade. Je la laissais se redresser en position assise, je continuais à fixer le ciel en me détendant. Maelys voulait se tenir tranquille alors j’en faisais de même. J’entendis qu’elle fouillait dans son sac puis elle vint se rallonger à mes cotés avec son portable à la main. Maelys me proposa de faire des photos avec elle.

« Ouais ça me dit bien ! »

Je lui adressais un sourire avant de prendre la pose à ces cotés, tête contre tête. Nous prenions plusieurs et certaines étaient à mourir de rire. D’ailleurs sur certaine photo j’étais entrain de me taper une barre. Ca serait un bon souvenir de son premier jour au lycée et j’étais content d’y avoir participé. C'était bien la première fois que je m'amusais autant avec une humaine. Maelys avait un petit quelque chose de spécial qui me plaisait chez elle et c'est cela qui me poussait à m'interesser à elle.

« J’espère que tu m’enverras les photos, il me les faut ! »

Je rigolais tellement que j’en attrapé mal aux abdominaux, les autres pouvaient bien nous regarder je m’en fichais totalement. A force de faire nos conneries, le reste de la pause passa rapidement et la sonnerie retentit. Cela signifiait qu’il était temps de retourner en cours.

« Allez Mademoiselle Valentine, il est l’heure d’aller en cours »

Je n’étais pas plus motivé que cela mais il fallait pourtant aller en cours. Je me redressais et me levait tout en aidant Maelys à se relever.

« On pourra passer une soirée ensemble un soir ou une après midi histoire de parler et de s’amuser. Je pourrais même te présenter mon meilleur ami si tu veux… Ca nous changera des journées au lycée et ça nous permettrait de mieux nous connaitre. Qu’est ce que tu en dis ? »

Je souriais à Maelys alors qu’elle me disait qu’elle m’enverrait les photos. Je pris mon sac de cours et je me dirigeais vers le lycée avec Maelys. Les gens commençaient déjà à réagir à notre rapprochement aussi rapide. Je pouvais en entendre de toute sorte. Certains penser que nous nous connaissions déjà, d’autres que Maelys était une croqueuse d’homme et encore d’autre qui prétendait que j’avais monté la tête de Maelys pour l’avoir dans mes filets. Nous en prenions tout les deux pour notre grade mais c’était bien amusant.
J’avais proposée à Maelys que l’on se fasse une journée ou une soirée tranquille en dehors du lycée. Elle me répondit que cela lui plaisait. Maelys me dit de lui dire quand nous ferions cette sortie afin qu’elle se débrouille à l’avance. Elle me demanda si cela me déranger si elle amenait sa jumelle.

« Ca ne me dérange pas au contraire, je serais ravi de la rencontrer. Et puis, j’invite bien mon meilleur ami alors tu peux bien dire à ta sœur de venir. »

J’aimerais vraiment connaitre sa sœur car cela me permettrait de connaitre encore mieux Maelys. J’aimerais bien découvrir l’entourage de la jeune femme. Alors que nous marchions l’un à coté de l’autre, nos mains se frôlaient alors que nous étions assez rapproché. Je lui adressais un sourire tout en continuant de me rendre en cours avec elle. Alors que nous étions non loin de la salle, nous nous retrouvions bloquer dans la foule contre les casiers. Maelys était devant moi, mais rapidement je sentis que la foule commençait à pousser comme la plupart du temps. Je passais donc mes bras autour de Maelys pour la protéger afin qu’elle ne soit pas écraser par le mouvement de la foule.

« Un vrai troupeau ! Ils ne savent pas passé tranquillement ! »

Alors que je la protégeais pour ne pas qu’elle ne se fasse écraser par le mouvement de foule, Maelys posa sa main sur la mienne. Elle me dit qu’elle pensait que c’était une bagarre qui nous bloquer le passage, si je voulais je pourrais me rendre sur le lieu de la bagarre et les séparer en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Mais je n’avais pas envie de laisser Maelys se faire écraser et je n’avais pas envie de me faire remarquer encore plus.

« Comme à chaque fois, tous regroupés comme des animaux pour regarder le soi disant spectacle »

Cela me dépasser de voir que les gens pouvaient être à se point euphorique de regarder des bagarres. Je sentais que certains regards étaient braqués sur Maelys et moi au lieu d’être braquer sur la bagarre qui se déroulait un peu plus loin. Maelys me dit qu’elle avait l’impression qu’elle est la prochaine cible sur la liste de ces filles. Je jetais un coup d’œil à ces filles si stupides en soupirant.

« Ne t’occupe pas d’elles, si elles osent te faire quelque chose je m’occuperais d’elles »

Je laissais Maelys enlacer ces doigts avec les miens et cela me donna une idée. Je reportais mon regard sur Maelys en souriant.

« Donnons leur ce qu’ils veulent tous voir… »


J’avançais mon visage vers celui de Maelys, je venais trouver ces lèvres et je me mettais à l’embrasser tendrement. Je la serrais doucement contre moi, tout le monde aurait l’impression de voir un vrai petit couple fou amoureux. Si Maelys ne voulait pas « d’ennuis » autant jouer la carte du petit couple. Personne ne l’embêterait s’il pensait tous que nous étions ensemble, je savais que les élèves se méfiaient de moi.